le TOUCHER

"Ce qui est agréable n'est pas nécessairement doux au toucher" (Anonyme) 

De cet adage ressort la fonction de cette catégorie : quoi de plus efficace pour se rendre compte de la beauté d'un vêtement que de le porter et donc de le toucher?
Au-delà de l'aspect visuel, d'une couleur, d'une coupe, d'un nom, d'une renommée, d'une habitude, Toi et moi, cher Lecteur, ne nous rendons véritablement compte de l'ampleur (ou l'horreur) d'une sape qu'une fois palpée, examinée, tripotée, essayée.


Dans cette partie, Tu trouveras les informations suivantes :

• des informations sur cet univers si impitoyaaaable;
• les dates les plus importantes à connaître et dont il faut Te souvenir (Fashion Week, Ventes Privées...)
• le Bricomarché du fashion : des inspirations, des adresses, des tips...
• parce-qu'on aime aussi beaucoup les gossips, et que ça fait pas de mal de dire du mal des autres, et surtout des plus riches, je Te montrerais les laideurs que nos ami(e)s les célébrités aiment à arborer et te rendre compte qu'au final, eux aussi, ils ne valent rien;
• une partie "Fash-U", dans laquelle Ton petit reporter ira, au hasard de la météo et des quartiers, demander à Toi, Toi, Toi et Toi ce que tu portes le jour où je Te croiserais. Pas de rendez-vous donné, ce sera là, tout de suite et maintenant, et si tu as décidé de sortir le baggy de tes 15 ans et que ton seul pull propre était le tricot de ta grand-mère mité de 1764 et bien, soit. La mode a ses raisons que la raison de l'autre ignore.

Attention : dans un souci d'équité, Toi mâle et Toi femelle y passerez.  Même si mon statut et le machin qui se balade entre mes jambes me pousseront probablement plus à m'intéresser à nos parures d'homme moderne, ne t'inquiète pas jeune fille. Je n'omettrais pas de parler de choses qui Te concerne, mais n'oublie pas d'en parler à ton homme. Merci et on s'appelle, hein!

Et s'il venait à une future C. Cordula ou une Anna W. de passer par là, sache que je ne suis en aucun cas là pour m'ériger en Christian Sirriano du "fach-ion"! Je ne parlerais que de choses qui m'inspirent, me touchent, me plaisent et m'interpellent. Oui, encore une fois, à peu de choses près, je frise l'objectivité...
Et dans la mesure, du possible, je m'attacherais à parler de mode abordable, parce-qu'on sait tous que "le luxe n'est pas le contraire de la pauvreté, mais de la vulgarité". Merci Coco, je crois qu'il y a une certaine Paris qui l'a oublié ça...

Si tu veux du pur, du dur, du pro, tu peux toujours aller ici, là, peut-être ici aussi et puis dans ça et sur ce truc !