C’est quoi?
Les nouvelles aventures de Sean Anderson (Josh Hutcherson), qui affublé d’un nouveau costaud à gros muscles au coeur tendre (the Rock qui remplace Brendan Fraser) part à la recherche d’une île perdue. Celle de Jules Verne. Là bas, ils y rencontreront volcans en éruption, grosses bébêtes volantes, immenses iguanes, latinos gaffeurs et cabots et Vanessa Hudgens.
Pourquoi?
Parce-que pour le plaisir coupable de voir Dwayne «the Rock» Johnson, le seul balour du genre à savoir jongler entre Be Cool, Fast Five, Get Smart et Southland Tales et The Expendables.....ah ben, non, en fait, on vient de me dire qu'il est pas dedans!
Parce-que la 3D : quoi que Tu dises, quoi que Tu penses (quoi que Tu faaaaaa-a-sses...je pense à Toi...), je persiste et signe en disant que le cinéma est fait pour des films en 3D, une chose que les télés du genre n’arriveront jamais à égaler. Et tant qu’elle existe encore, le Ra’T continuera à en être un grand consommateur.
Parce-que Vanessa Hudgens dans un autre chose que High School Musical et Neutrogena : the movie, c’est tentant.
Photo by Ron Phillips – © 2012 Warner Bros. Entertainment Inc. |
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Photo by Courtesy New Line Cinema – © 2012 Warner Bros. Entertainment Inc. |
Le + :
- la 3D efficace ;
- de très jolis effets spéciaux. Vraiment. ;
- «The Rock» est étonnamment sympathique dans son rôle, ce qui lui donne l’impression d’être impliqué ;
- Josh Hutcherson a bien grandi....son corps aussi....c’est quand la majorité sexuelle aux Etats-Unis déjà ???
Le - :
- finalement, Vanessa Hudgens est juste ridicule : ses cheveux qui volent au vent au ralenti, une attitude baroudeuse-impétueuse surjouée et surtout un jeun à faire pâlir les minettes du style. Un exemple : lorsqu’elle se lève après avoir échoué sur la plage. La représentation : comme ça. ;
- Kristin Davis : 6 minutes 24 de présence à l’écran;
- mais que fait Michael Caine là-dedans.......?;
- une intrigue bidon, qui voit les scènes s’enchaîner sans raison apparente, ni aucune justification aux actions;
- pour habituer les jeunes spectateurs, dès leur plus jeune âge, à un ramassis de clichés : la meuf nunuche mais aventurière, le gros balourd cabot qui fait des conneries....sérieusement?;
- la bêtise de l’ensemble : les clichés tellement abusifs qu’ils en deviennent ringards, genre la fille qui se met à commenter toutes les actions qui se déroulent DEVANT NOS YEUX, du style «tu m’as sauvé» quand il la sauve; «il est parti...» quand un personnage quitte l’écran; ou encore les inconsistances, du type, la cheville déboitée-reboitée à coups de pierre, le ukulélé au coin du feu....
Photo by Ron Phillips – © 2012 Warner Bros. Entertainment Inc. |
Photo by Courtesy New Line Cinema – © 2012 Warner Bros. Entertainment Inc. |
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Photo by Courtesy New Line Cinema – © 2012 Warner Bros. Entertainment Inc. |
Ze scène :
le «pec-pongs». Drôle, culotté et un vrai sens de l’auto-dérision.
Photo by Courtesy New Line Cinema – © 2012 Warner Bros. Entertainment Inc. |
Au final : film ni pour enfant, ni pour adulte, Voyage 2 réussit à offrir de très beaux décors et un bestiaire travaillé, que n’aurait sûrement pas renié Jules Verne, mais à l’intrigue et aux acteurs approximatifs, sans réel intérêt, ni fond.
Sinon, si vous arrivez à finissez devant un jour ce film, vous pouvez jouer à un jeu très marrant : noter les traces de sueur de Dwayne Johnson, qui change constamment d’une scène sur l’autre. Vous verrez : c’est hilarant !
La Note : 0,5/5
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