Chose promise, chose dûe (avec un peu de retard, certes).
Si la saison 2 de Glee vient de se terminer sur W9, mais continue d'être régulièrement diffusée sur M6, la saison 3 a commencé depuis le 20 septembre dernier aux Etats-Unis, sur la chaîne Fox.
En tant que fan de la première heure, j'ai continué à suivre les péripéties somme toute débiles musicales de cette bande de cassos (si l'on considère le fait que d'être noir ou gay ou avoir un gros nez ou être en fauteuil roulant s'applique au terme "cassos").
Je ne commenterais pas l'histoire, afin d'éviter de spoiler les événements, pour Toi qui T'y intéresses un tant soit peu. L'intérêt de la série pour moi ayant été purement et simplement musicale depuis son commencement, cette partie Glee-ter ne parlera que des interprétations et des chansons reprises.
Je mettrais donc en exergue l'originale des chansons reprises, ainsi que leur réinterprétation (SANS AUCUN VISUEL, histoire que Tu puisses les découvrir quand la saison débarquera sur les chaînes hertziennes en 2052) et je dirais ce que j'en penserais. Bien évidemment, tout cela avec beeeeeeaucoup d'objectivité et sans auuuuuuuucun parti pris. Ah Ah. (et en couleur le morceau le plus excitant, le plus fun et le plus agréable de l'épisode).
Tout ce que je me permettrais de dire, c'est que la saison 3 semble suivre la "tablature" empruntée déjà par la saison 2 : une mi-saison plutôt ennuyante, voire carrément reloue, pour prendre son envol au bout du 9ème épisode et finir par redevenir ce qu'elle était à son lancement : fraîche, originale et ultra-funky.
Episode 301
C'est la rentrée au lycée McKinley.
Au programme extra-scolaire : des couples défaits, des couples refaits, l'arrivée de nouveaux personnages, la disparition (injuste) de certains et beaucoup de chansons.
Et surtout, c'est la dernière année pour certains personnages qui sont en Terminale et qui sont donc amenés à disparaître à la fin de la saison.
Au programme extra-scolaire : des couples défaits, des couples refaits, l'arrivée de nouveaux personnages, la disparition (injuste) de certains et beaucoup de chansons.
Et surtout, c'est la dernière année pour certains personnages qui sont en Terminale et qui sont donc amenés à disparaître à la fin de la saison.
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"We got the beat" (feat. Lea Michele, Naya Rivera & Heather Morris)
On ne peut pas dire que la saison 3 de Glee commence fort. Si le titre de la chanson permet de lancer l'intrigue et de manière plus générale, le leitmotiv du Glee Club, et trace la voi(x)e de Naya Rivera (Santana) et Heather Morris (Brittany) comme les deux personnages mis en avant de cette saison, cette chanson de 1980 est peut-être un peu trop méconnue pour la pauvre personne inculte que je suis, née 5 ans après, pour entièrement apporter mon adhésion.
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"Big Spender" (feat. Vanessa Lengies)
Bon, là il s'agit de la chanson interprétée par le nouveau membre du Glee Club, Suga Motta (Vanessa Lengies). Souviens-Toi en, parce-qu'il s'agit là de la rivale du personnage de Brittany, en terme de débilité et ressort comique de la saison. Bien évidemment, il est inutile de noter sa voix et sa prestation sur la reprise de la comédie musicale de 1966, Sweet Charity, puisqu'elle est plus apparentée à un gag qu'autre chose.
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Une petite reprise de la chanson finale de la fameuse comédie musicale The Wizard of Oz. Si l'alchimie vocale entre Lea Michele (Rachel) et Chris Colfer (Kurt) est assez agréable (mais pas autant que leur sublime reprise de Happy Days are Here Again lors de la saison dernière), la chanson va surtout poser le problème global de cette saison 3, à savoir la reprise d'un grand nombre de chansons populaires de Broadway, certainement équivoques pour les Ricains, mais pas assez, voire carrément pas du tout pour une grande majorité de l'auditoire frenchy.
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"It's not unusual" (feat. Darren Criss)
Il s'agit de la chanson de l'arrivée d'un nouveau personnage au sein du Glee Club, mais déjà aperçu dans la saison précédente. Et comment dire ? Si durant la saison dernière, il était déjà particulièrement bon, là il est simplement divin. Oui : "DI-VIN".
Effectivement, on peut se dire que Darren Criss (Blaine des Warblers, donc) a du bagage, il a foulé de nombreuses scènes comme Lea Michele, alors qu'il a tout juste 25 ans. Ce qui est intéressant dans son interprétation, c'est d'avoir réussi à refaire le coup de Tom Jones, sans autre réel artifice que sa voix : sortir de son statut de beau gosse-sex symbol (oui, oui, demande à tes vieux : Tom Jones était considéré comme un sex-symbol à l'époque. Un Tom Jones jeune, on s'entend, hein) et rendre inoubliable et intemporelle une chanson d'abord destinée à une petite starlette pop (Sandie Shaw, au temps de jadis d'autrefois).
Et pour le coup, Darren Criss fait un excellent boulot et rend la chanson aussi entraînante que l'a fait son prédécesseur.
Un must certain pour les puristes exigeants qui souhaitent voir dans Glee, plus que de simples reprises de karaoké.
Effectivement, on peut se dire que Darren Criss (Blaine des Warblers, donc) a du bagage, il a foulé de nombreuses scènes comme Lea Michele, alors qu'il a tout juste 25 ans. Ce qui est intéressant dans son interprétation, c'est d'avoir réussi à refaire le coup de Tom Jones, sans autre réel artifice que sa voix : sortir de son statut de beau gosse-sex symbol (oui, oui, demande à tes vieux : Tom Jones était considéré comme un sex-symbol à l'époque. Un Tom Jones jeune, on s'entend, hein) et rendre inoubliable et intemporelle une chanson d'abord destinée à une petite starlette pop (Sandie Shaw, au temps de jadis d'autrefois).
Et pour le coup, Darren Criss fait un excellent boulot et rend la chanson aussi entraînante que l'a fait son prédécesseur.
Un must certain pour les puristes exigeants qui souhaitent voir dans Glee, plus que de simples reprises de karaoké.
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"Anything goes/anything you can do" (feat. Lindsay Pearce)
Ce mashup entre une chanson de Cole Porter et un morceau de la comédie musicale Annie Got a Gun est l'occasion de faire intervenir la demie-finaliste du Glee Project, Lindsay Pearce. Et si effectivement, la donzelle sait chanter, maitrise parfaitement sa voix, puissante et pleine, le morceau demeure inconnu pour nous français, ce qui fait qu'on peut avoir l'impression de regarder une belle exécution, tournant à vide.
"You can't stop the beat" (feat. Lea Michele, Cory Monteith, Chris Colfer, Kevin McHale & Amber Riley)
Et c'est toujours par la reprise d'un morceau de Broadway (ici, le final de la comédie musicale Hairspray, qui avait eu droit à deux très joyeux remakes en 1988, avec Johnny Depp, puis en 2007, avec John Travolta, Queen Latifah ou encore Zac Efron) que s'achève cet épisode.
Une reprise qui va marquer une nouvelle donne dans la série, à savoir le placement d'un morceau choral (interprété par tout le groupe) en fin d'épisode. L'ensemble est très gai, plutôt bien enlevé, et interprété par les personnages aux voix les plus fortes et les plus reconnaissables, à savoir Lea Michele, Cory Monteith (Finn), Chris Colfer, Kevin McHale (Artie) et Amber Riley (Mercedes).
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"You can't stop the beat" (feat. Lea Michele, Cory Monteith, Chris Colfer, Kevin McHale & Amber Riley)
Et c'est toujours par la reprise d'un morceau de Broadway (ici, le final de la comédie musicale Hairspray, qui avait eu droit à deux très joyeux remakes en 1988, avec Johnny Depp, puis en 2007, avec John Travolta, Queen Latifah ou encore Zac Efron) que s'achève cet épisode.
Une reprise qui va marquer une nouvelle donne dans la série, à savoir le placement d'un morceau choral (interprété par tout le groupe) en fin d'épisode. L'ensemble est très gai, plutôt bien enlevé, et interprété par les personnages aux voix les plus fortes et les plus reconnaissables, à savoir Lea Michele, Cory Monteith (Finn), Chris Colfer, Kevin McHale (Artie) et Amber Riley (Mercedes).
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